Paul Simon
Paul a découvert l’impro fort tard, en 2016, suite à une improvisatrice de la Lib qui lui avait confié à quel point un match pouvait complètement vider la tête. Depuis il recherche toutes les occasions possibles d’appliquer ce lumineux mantra d’Agnès Calvache : "Mets ton cerveau dans ton cul"
.
Cette position de méditation particulièrement érudite, il ne la quitte quasiment plus, malgré les embarras physiques évidents. Il se demande même parfois : "Mais si je le ressors, mon cerveau, maintenant... fonctionnera-t-il encore !?" De peur d’une réponse définitive, il n’a pas encore essayé. Peut-être ce soir. Peut-être lundi. Un jour, il faudra bien !
Alors en attendant, il explore avidement tout ce qu’il n’a pas connu dans sa jeunesse : le match, le freeform ou la longue-forme narrative. Il est gentil, propre sur lui, vacciné et vermifugé, prenez contact ici si, malgré son âge, vous souhaitez l’adopter pour un de vos prochains concepts...