Robin Fourneau

Plongé dans l’univers de l’impro depuis 2011, Robin a été recalé au souper de recrutement de l’Improkot en 2012 avant d’intégrer l’équipe de l’ULB en 2015 avec laquelle il terminera dernier du championnat interuniversitaire deux années consécutives. En 2021, il crée son premier concept, "Origin Story" qu’il jouera une fois et qui s’avèrera être un véritable fiasco. Peu après, il se fait jeter par une de ses équipes au cours d’un appel téléphonique de 5 minutes alors qu’il était nu dans les vestiaires d’une piscine communale. Il a joué son meilleur spectacle devant un public de 4 inconnus et le pire face à un auditoire de 300 personnes.

Bref, le parcours de Robin est rempli de bourdes. Mais comme le diront de nombreux comédiens : l’impro, ça consiste à regarder les bourdes sous un nouvel angle pour les voir comme des heureux événements. Et grâce à tous ces heureux événements, Robin kiffe plus que jamais les bourdes qu’il fait sur scène aujourd’hui ainsi que les personnes qui font des bourdes avec lui !

Archives spectacles

Tempus

Le temps se joue de nos histoires

Le temps qui passe. Celui après lequel nous courons, celui qui lasse, celui qui casse, celui qui fait de nos vies des aventures passionnantes. Comment le temps influe-t-il sur la vie des personnages ? Sur leurs relations ? Sur les valeurs auxquelles ils croient ? Comment évoluent les personnages (…)

Improference

Votre histoire sous un nouveau regard

Le public est invité à plusieurs reprises pendant le spectacle à partager avec les comédien.ne.s une histoire vécue qui le « touche ». L’idée n’est pas de rejouer la situation racontée mais bien de proposer un « autre miroir » de ce qui a été partagé. De manière humoristique, légère, (…)

Derrière la porte

Entrez, c’est ouvert !

Les portes, ça craint ! C’est pas joli, pas divertissant, pas émouvant, chiant à transporter. Ca ne va avec rien, ça claque sur le nez, ça se laisse tirer sauf quand il faut pousser, ça se ferme pour que dalle et ça se rouvre quand il n’y a plus rien à voir. Sans exagération : les portes, (…)